Comme l'a indiqué Denys Robiliard, il s'agit non d'attaquer la « loi Évin » mais d'apporter une précision sur une jurisprudence, qui engendre une autocensure d'autant plus forte que la filière viticole dispose de moyens techniques et financiers plus réduits, pour répondre à un jugement défavorable, que les grands groupes de spiritueux.
Je suis toujours frappé par la foison d'affiches de quatre mètres sur trois vantant des bières et spiritueux dans le métro. J'y vois une raison de supprimer la pression dissymétrique qui s'exerce sur la filière viticole.