Le texte est ambigu : soit un droit est accordé à l'assuré pour lui éviter de se voir imposer une contrainte par son assureur, ce dernier s'étant allié à des réparateurs particuliers – auquel cas je suis d'accord avec Jean-Yves Le Bouillonnec – soit, on prévoit, comme c'est le cas de cet article, que l'assuré peut se faire subroger par le réparateur de son choix. Je ne suis pas sûr que cela signifie que tous les réparateurs seront dans l'obligation de suivre cette règle dans la mesure où l'article ne rend pas le tiers-payant obligatoire.