Le Sénat a en effet supprimé l'alinéa prévoyant que la délivrance de verres correcteurs était subordonnée à l'existence d'une prescription médicale en cours de validité. Le rapporteur tire la conséquence de cette suppression dans son amendement, ce qui a le mérite de la cohérence. La question sous-jacente est de savoir si une prescription médicale est nécessaire pour aller acheter des verres correcteurs ou des lentilles de contact.
Au demeurant, cette mesure était également cohérente avec l'esprit du texte qui vise à libérer le commerce. Je comprends que, dans une logique commerciale, cela soit une option de facilitation.