Je ne répéterai pas ce que vient de dire excellemment M. le rapporteur. La meilleure garantie de bon fonctionnement pour une telle université consiste à rapprocher le plus possible le texte de l’accord obtenu au plan local auprès des collectivités comme de la communauté universitaire.
Pour les raisons qui ont été exposées – l’unité dans la diversité –, l’élection de vice-présidents au niveau des pôles, qui permet de garantir à la fois l’autonomie de ces derniers et un bon fonctionnement de l’université fédérale, me paraît être la meilleure des solutions. L’avis du Gouvernement est donc défavorable sur ces deux amendements.