À être un pilier, je le répète, de la construction européenne, et à l’être toujours dans le cadre d’un dialogue avec l’Allemagne. Il ne servirait à rien de vouloir créer une opposition entre l’une et l’autre pour résoudre une difficulté aussi grave que celle que présente la situation de la Grèce.
Nous tenons aussi ce rôle avec notre singularité. Cette singularité tient à ce que nous sommes un peuple qui est l’ami historique du peuple grec, qui le comprend et qui en est compris.