Depuis le premier jour, nous disons à la Grèce qu’elle doit respecter les règles de bon fonctionnement de l’Europe d’aujourd’hui, puisqu’elle en est un membre depuis longtemps et que sa banque est la Banque centrale européenne, qui lui permet de disposer de liquidités.
Cependant, nous le lui disons toujours dans le respect de la démocratie qui s’est exprimée et du gouvernement légitime qui formule ses propositions.