Depuis le mois de mars, j’ai essayé d’ouvrir ce débat. Je vous ai interpellée à plusieurs reprises, très gentiment d’ailleurs. Le 12 mai dernier, Mme Rossignol m’a renvoyé au texte suivant : nous y sommes, et il est une heure du matin… Sur tous les bancs, chacun sent bien que le débat est très compliqué et qu’il n’est pas mûr, pour dire les choses un peu crûment.
La parole de l’enfant vaut ce qu’elle vaut : elle est à la fois sacrée et très aléatoire, suivant les cas.