Il s’agit simplement, j’en ai parlé tout à l’heure lors de la présentation du texte, de réparer une omission. Figurez-vous que les chefs d’établissement du premier degré de l’enseignement privé n’étaient pas concernés, jusqu’à présent, par cette règle du code de l’éducation en vertu de laquelle une personne condamnée peut être l’objet d’une interdiction d’exercer sa profession. Désormais, les chefs d’établissement de l’enseignement privé du premier degré qui seraient condamnés pour l’une des infractions dont nous discutions tout à l’heure pourraient faire l’objet d’une procédure disciplinaire conduisant à l’interdiction d’exercer auprès des mineurs, ce qui n’était pas prévu jusqu’à présent.