La réponse que Mme la rapporteure a faite concernant la distinction entre hommes et femmes ne me paraît pas satisfaisante. En effet, vous savez très bien que dans un certain nombre de pays où la sécurité n’est pas assurée pour les femmes, elle ne l’est pas non plus pour les personnes homosexuelles, par exemple. Il m’est arrivé d’adresser une demande au préfet pour des cas de ce type. Il m’a été répondu que le pays d’origine était sûr ; or, ce n’était pas le cas.
La distinction que vous opérez prête donc à confusion, d’autant que les préfets, hélas, font une interprétation parfois très rigide des textes.