… puis, à l’Assemblée nationale, de tenir compte « de la situation particulière de la commune de Paris et de son organisation en arrondissements ». Devant chaque assemblée, le Gouvernement cherche ses arguments à tâtons pour justifier l’injustifiable. Aucun des deux ne tient.
Un alignement de Paris sur le droit commun ? C’est faux : si la situation de Paris devait être comparée, elle devrait l’être aux deux métropoles de Lyon ou Marseille.