Il faut certes répondre à ces demandes, mais il est inutile d’imposer un délai. Le Premier ministre s’est lui-même engagé à ce que les délais de réponse soient très courts ou, si la réponse demande davantage de temps, qu’elle soit motivée. Nous sommes donc sortis de l’impasse où nous étions pendant des années, puisqu’une réponse a été apportée – même si le Parlement ne l’a pas suivie.