La conséquence du « oui », c’est que le dialogue et la négociation continuent. Je cherche ici à éclairer le débat – la France et le Président de la République le font depuis longtemps –, et non pas à faire campagne dans un sens ou dans l’autre.
La conséquence du « non », c’est que nous glissons dans une voie inconnue : celle du risque de la sortie de l’euro. Nous n’en voulons pas pour la Grèce ! Nous voulons la Grèce dans l’euro, nous voulons une Europe forte, nous voulons une Europe solidaire avec la Grèce, et c’est cela que nous privilégions, y compris dans les instants qui suivent.