C’est un choix souverain que le gouvernement français respecte pleinement, Michel Sapin le rappelait il y a un instant, et le peuple grec s’exprimera dimanche.
La France est engagée dans les négociations. C’est sa place. Et ces négociations – je réponds à votre question – étaient en effet près d’aboutir vendredi dernier. Nous regrettons qu’elles soient interrompues, à l’initiative du gouvernement grec, mais le message que porte le Président de la République, que porte de manière permanente Michel Sapin qui est pleinement engagé dans ces discussions, est que la porte est ouverte, que les négociations peuvent reprendre à tout moment si le gouvernement grec en fait le choix, en responsabilité.