Commençons par le commencement.
Ici, monsieur le Premier ministre, tout le monde – je dis bien : tout le monde – veut que la Grèce reste dans l’Union européenne et dans la zone euro et personne, personne ne souhaite une faillite qui serait catastrophique pour son peuple.
Mais enfin, trop c’est trop ! Voilà six mois que Tsipras fait de la politique intérieure avec l’argent des autres, c’est-à-dire avec l’argent des contribuables européens,