Voilà comment nous travaillons.
La crise que nous connaissons aujourd’hui est conjoncturelle, mais elle a aussi des causes structurelles, et il nous faut agir sur les deux plans. Agir d’un point de vue conjoncturel, c’est par exemple permettre un suramortissement à 140 % pour favoriser l’investissement et apporter des aides directes, à la fois en allégements de charges et en report de cotisations à la Mutualité sociale agricole, pour aider les exploitants tout de suite.