La violence ne sera pas une solution – je pense notamment à celle qui affecte le trafic Eurostar. Je veux vous le dire clairement, et le ministre de l’intérieur lui-même aurait souhaité vous le dire. On peut respecter l’action des salariés, on peut comprendre ce qui se passe, mais aujourd’hui, on sait très bien que la situation nous impose de rester unis.
Pendant des mois, monsieur Fasquelle, vous avez posé des questions…