Vous évaluez le développement d'Ariane 6 à 3,4 milliards d'euros. L'ESA participera à hauteur de 2,5 milliards. Pour combler l'écart, vous évoquez une hausse de 5 % de la contribution des États. Mais, cette solution s'est vue opposer une forte résistance en Allemagne. Pouvez-vous préciser l'état des négociations ?
Aux termes de l'accord de financement du projet, les industries doivent investir 400 millions d'euros en fonds propres. Pouvez-vous nous éclairer sur ce point ?