Je suis donc défavorable à votre amendement, madame Pompili, bien que j’aie partagé, à un moment, votre interrogation. Aujourd’hui, ma réflexion m’amène à penser que la solution que vous proposez pourrait être plus dangereuse, sauf à considérer qu’un Ad’AP de trois ans soit mis en oeuvre quelle que soit l’importance du patrimoine. Mais Mme Massonneau a utilisé tout à l’heure une formule que j’ai appréciée : « l’idéal déconnecté du réel conduit à l’échec ». Je ne voudrais pas que nous soyons dans cette situation !