Moi, je suis un peu comme les paysans lorsqu’ils visitent la capitale et la découvrent depuis son métro ou ses bus : je trouve cela merveilleux. Pour autant, dans les stations, j’entends régulièrement le même avertissement : prenez garde à l’intervalle entre le train et le quai. Dans ces cas-là, on fait effectivement attention, mais on s’interroge, aussi : que se passerait-il si j’étais handicapé, ne serait-ce que légèrement ? Si je circulais dans un fauteuil roulant ? Votre texte, madame la secrétaire d’État, répond-il à cette situation ? Les réponses que vous donnez aux parlementaires conviennent-elles ?