Nous allons avoir des difficultés, monsieur le ministre. À la limite, je vous crois de bonne foi sur ce texte, tel qu’il est aujourd’hui. Tout est parfait au pays où tout va bien ! Mais dans un an, vous ferez ce que vous allez faire tout à l’heure sur la représentation des salariés dans les conseils d’administration – l’encre est à peine sèche que vous commencez à modifier les choses ! – : vous ferez inscrire que l’accès à l’entreprise est obligatoire. C’est ainsi que cela se terminera, et c’est grave !