Il fallait donc que ce sentiment réapparaisse à un moment ou à un autre.
En l’occurrence, vous donnez du temps au temps, ayant bien compris que le mécontentement montait de toutes parts, et vous renvoyez la balle aux partenaires sociaux.
Dans ces conditions, j’ai deux questions. Tout d’abord, ces discussions ont-elles eu lieu entre eux avant qu’ils n’aboutissent à l’échec que l’on sait, à cause duquel nous revenons aujourd’hui sur un texte de loi ?
Ensuite, il s’agit de gouvernance et de répartition de crédits – c’est là le fond de l’affaire. Pouvez-vous donc, monsieur le ministre, nous informer – aujourd’hui ou demain, peu importe – quant à l’enveloppe concernée ? De quoi parle-t-on ? Je crois savoir en effet qu’il s’agit de sommes très importantes.