Vous avez rappelé que l’enjeu était de savoir non pas quels commentaires nous faisons au jour le jour, ou semaine après semaine, mais quel commentaire il sera fait sur le rôle des uns et des autres, le positionnement des uns et des autres lorsque la situation sera analysée dans cinq ou dix ans.
Je préfère largement la position que vous avez exprimée, monsieur le député, à savoir la nécessité que la Grèce reste dans l’euro, car c’est l’intérêt de la Grèce, de l’Europe et de la France, à celle de ceux qui déclaraient voilà quelques jours que la Grèce devait être accompagnée en dehors de l’euro.