Un plan global, enfin, doit traiter de la dette, du poids de la dette, et la France en a parlé depuis le début, malgré les difficultés qu’il y avait à aborder le sujet.
Voilà le plan global que nous voulons. Il est sur la table, nous le portons depuis le début, c’est celui qui est examiné en ce moment même. La solution ne sera cependant trouvée qu’à l’initiative du gouvernement grec ; j’ai bon espoir qu’elle le soit.