qui n’a eu de cesse, depuis le début des négociations, de multiplier les échanges et de tout mettre en oeuvre pour faire partager la vision française et soutenir la Grèce. Je tiens à le remercier, ici, pour son action au service des intérêts de notre pays et de l’Europe. Sa tâche, il le sait, sera loin d’être terminée dans les heures et dans les jours qui viennent.
Je vous le dis, mesdames et messieurs les députés, la détermination de la France est totale. Et si nous nous mobilisons autant, ce n’est pas, comme j’ai pu entendre certains le dire, parce que nous serions à la remorque de l’Allemagne ou parce que, comme d’autres le prétendent, nous serions indulgents vis-à-vis du gouvernement d’Alexis Tsipras – que de contradictions parmi ces critiques ! – mais parce que c’est d’abord notre intérêt, celui de la France et donc de l’Europe !