Accepter désormais une sortie de la Grèce de la zone euro serait faire preuve d’un renoncement en contradiction totale avec les choix que la France a pu faire, avec ses orientations mais aussi avec nos valeurs. Ce serait un aveu d’impuissance. Au nom de ce qu’est la France, je m’y refuse. La France refuse que la Grèce sorte de la zone euro, au nom même de nos orientations et de nos engagements.