de soumettre l’accord qui, nous l’espérons, sera conclu d’ici la fin de la semaine, au vote du Parlement français pour que chacun soit amené à prendre ses responsabilités.
Que nous dit cette crise ? Quels enseignements pouvons-nous en tirer ? Nous avons une double conviction, monsieur le Premier ministre.
La première est que l’Europe, avant d’être des institutions et des traités, avant d’être des règles et des normes, des directives et des règlements, et même avant d’être une monnaie partagée par une partie de ses membres, est avant tout une idée.