Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, messieurs les ministres, chers collègues, la Grèce doit rester dans l’euro ! La Grèce doit rester dans l’euro ! La Grèce doit rester dans l’euro ! Voilà ce que répètent depuis des jours, des mois, et même des années, le Président de la République, votre Gouvernement, monsieur le Premier ministre, et notre majorité, parfois contre vents et marées, et nous continuerons à le dire.
La détermination paye : nous sommes aujourd’hui proches d’un accord et je voudrais avant tout rendre hommage au Président de la République, dont le rôle a été capital.