Dans votre rapport, j'ai noté qu'il y avait 71 000 garçons en terminale S, contre 61 000 filles. Je n'ai pourtant pas vu de proposition visant à ce que les orientations soient plus « mixées » et que des professions, comme celle d'ingénieur, qui compte une majorité d'hommes, le soient également un peu plus. Inversement, il y a des professions comme la mienne, sage-femme, qui comptent très peu d'hommes…
Certes, l'école et l'orientation ne sont pas les seules responsables de cette situation. C'est la société tout entière. Que peut-on faire dans le cadre de l'école pour que cela change ?