Le Président de la République avait non seulement le souci que la Grèce reste dans la zone euro, mais aussi que la France et l’Allemagne, que la chancelière allemande et lui-même, avancent ensemble, qu’un accord soit trouvé, et que le contribuable français soit en effet protégé. C’est sur ce résultat que vous aurez, en conscience et en responsabilité, à vous prononcer au terme du débat que nous aurons cet après-midi.
J’aurai alors l’occasion, monsieur Woerth, de revenir sur les questions de fond…