La semaine dernière, en réponse à notre collègue François Sauvadet, votre ministre de l’agriculture s’est lui-même déclaré dans l’impossibilité d’agir directement. Certes, l’État ne peut pas tout, mais il dispose tout de même d’outils suffisants pour faire respecter des accords qui, jusqu’ici, ont été bafoués par la grande distribution.