Enfin, troisième mesure : les Grecs disposeront d’un programme d’investissement de 35 milliards au service de la croissance et les autorités européennes y travaillent. Cette somme viendra d’une meilleure utilisation des fonds structurels et des différents programmes de l’Union européenne, mais aussi du plan présenté par le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker. Ce que la France défend à l’échelle européenne, s’agissant de la stratégie économique à mener, vaut aussi pour la Grèce : il ne peut pas y avoir de réformes efficaces sans investissements et sans croissance.
Nous avons ici un accord, difficile bien sûr, mais responsable et global,…