Nous avons progressé avec l’union bancaire, avec ce qu’on appelle le semestre européen, mais ce n’est pas assez. Il nous faut une coordination accrue de nos politiques économiques, un véritable policy-mix équilibré qui donne toute sa place à une analyse globale de la zone euro : ses forces, ses faiblesses, ses besoins.
Il faut aussi plus de convergence.