Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, deux d’entre vous au moins m’ont très directement interrogé sur l’association du Parlement à cet accord. Je vais leur répondre brièvement, avant le vote, et réagir sur quatre ou cinq points. Un débat existe, des bancs de M. Chassaigne jusqu’à ceux de M. Jacob, sur la situation politique en Grèce ou, plus exactement, sur la manière de qualifier Alexis Tsipras et sa majorité.