Mais je sais que la coalition au pouvoir en Allemagne, incarnée à la fois par la Chancelière Merkel et par le Vice-Chancelier Sigmar Gabriel, était sur une position claire : la Grèce ne pouvait pas sortir de l’euro et il fallait trouver un accord entre la France et l’Allemagne pour qu’elle y reste.
Au lieu d’essayer de critiquer de manière absurde l’action du Président de la République, ceux qui s’opposent à cet accord devraient saluer ce qu’ils demandaient eux-mêmes : la réussite du travail mené en commun par la France et par l’Allemagne.