C'est à l'initiative du président Nicolas Sarkozy que la loi de finances pour 2012 a porté le montant du FPIC à 360 millions d'euros pour l'année 2013. Quand vous êtes arrivés aux affaires, la mesure était donc prise.
En outre, si vous étiez à ce point volontariste et sincère, monsieur Pupponi, vous auriez voté, en première lecture, l'amendement que j'avais présenté et qui portait ce montant à 500 millions d'euros. Je n'ai trouvé de votre part aucun soutien. Le seul soutien que j'ai obtenu fut celui d'Olivier Dussopt, alors au banc des commissions, mais rien de la part du député-maire de Sarcelles.