Notre collègue François Pupponi fait un travail absolument remarquable, car il n'est pas évident de trouver des consensus. Quant à Jacques Kossowski, il est maire d'une des communes qui contribuent – et les montants sont considérables. Si Pascal Cherki était là, il vous dirait également que, pour Paris, les montants sont considérables. Il faut absolument trouver des accords, dégager des consensus pour qu'une telle péréquation puisse être acceptée.
J'ajoute que la péréquation nationale s'est inspirée directement de ce que nous avons réussi à faire en Île-de-France. Le fonds de solidarité d'Île-de-France date de 1991, le FPIC n'a été créé que cette année. Il faut favoriser, dans un esprit de décentralisation dont je sais qu'il vous est cher, l'émergence d'accords locaux.
Voilà, j'ai dit tout ce que le rapporteur général ne voulait pas dire. Mais je le remercie de son avis de sagesse.