À mon tour de remercier le rapporteur général et Mme la ministre déléguée de leur sagesse. Je veux juste dire à M. le rapporteur général que ce ne sont pas les élus franciliens qui ont demandé un fonds de solidarité d'Île-de-France, c'est la loi qui l'a voulu. L'année dernière, le projet de loi de finances avait prévu que ce fonds soit réformé, puisqu'il était fondé sur la taxe professionnelle. On ne peut reprocher aux élus franciliens de s'être emparés du dossier et d'avoir fait des propositions à la représentation nationale.