Les recettes étant dynamiques, nous avions insisté sur la nécessité de raisonner en pourcentages et non en sommes. Or, madame la ministre, en disant que 55,9 % correspondaient à 406 millions d'euros pour 2016 et 70,5 % à 536 millions pour 2017, c'est bien une somme que vous semblez vouloir fixer chaque année. En cas de progression importante des recettes, le montant pourrait rester le même mais le pourcentage redescendre à 65 %. Notre demande de raisonner en pourcentages plutôt qu'en sommes a donc été dévoyée.