Je rappelle à nos collègues que le DALO a été voté par la majorité précédente, et que c’est elle qui a défini cette condition de deux ans.
En outre le droit au logement, comme l’a très bien dit M. le ministre, est une condition indispensable de l’intégration et il est ouvert à des étrangers en situation régulière. Il faut savoir ce qu’on veut. Soit on veut l’intégration et dans ce cas on offre des possibilités de logement car c’est une condition indispensable. Soit on considère que l’intégration n’est pas possible ou qu’elle suppose des difficultés telles qu’elle est improbable.
Après avoir refusé de soigner les étrangers, vous voulez maintenant les laisser dehors.