Sur la question du droit du sol et du droit du sang, le débat a été lancé par votre formation politique. Dès lors, il faut l’affronter et chacun doit pouvoir développer ses positions. Je veux donc dire ce que j’en pense.
J’insiste d’abord sur le fait que, pour le Gouvernement, le droit du sol n’est pas négociable et que vouloir le remettre en cause, c’est s’attaquer à ce qui est au coeur de notre nation et de la République, c’est s’attaquer à une certaine idée de la France.