Ma première question, qui s'adresse à M. Stéphane de Prunelé, porte sur le prix du lait. Si on l'augmente de 1 centime par litre dans vos rayons, ce qui aura un impact faible sur le pouvoir d'achat des consommateurs, combien le producteur percevra-t-il en plus ?
Monsieur Creyssel, vous avez évoqué la volatilité des marchés, que nous pouvons constater pour le porc et le lait. Quelles mesures concrètes préconisez-vous ? Faut-il harmoniser les marchés, les cotations qui s'y déroulent ?
Entre la France et l'Allemagne, on constate une disparité dans la répartition de la valeur, qui n'est pas liée à des différences de coût du travail. Faut-il réduire le nombre de metteurs en marché pour resserrer la chaîne et permettre ainsi une meilleure rémunération des producteurs, en particulier des éleveurs ?