Nous avons une interprofession longue et j'ai du mal à comprendre ce qui vient d'être dit. Plusieurs entreprises reçoivent les éleveurs et vont les voir, même si elles n'ont pas directement rencontré le président de la FNP.
Cela dit, il est aussi possible qu'aujourd'hui, certains en aient assez de voir leur entreprise envahie ou leurs camions vandalisés, même lorsqu'ils transportent de la viande française. Il reste, monsieur Auffray, que nous avons toujours privilégié le dialogue, et vous le savez bien. Je n'accepte pas ce que vous venez de dire.