Compte tenu de l'organisation centralisée de la France et de l'absence de mesures sur la coexistence entre les champs OGM et non-OGM, il ne semble absolument pas opportun de permettre que l'autorité compétente décide de zones géographiques dans lesquelles des OGM seraient autorisés, et d'autres dans lesquelles ils ne le seraient pas. La décision doit s'appliquer sur tout le territoire national, à moins de reconnaître la région comme une autorité compétente, comme le font d'autres États fédéralistes.