À vous écouter, j'ai l'impression que les Pyrénées-Orientales ont un microclimat et que les jeunes y sont différents. Ce n'est pas le cas. Les clubs sont fréquentés par des jeunes provenant d'autres départements du Languedoc-Roussillon et de toute la France, y compris de Paris. Cette étude pourrait être généralisée à l'ensemble du territoire. Il ne faudrait pas stigmatiser la jeunesse de mon département.