Dans les situations de crise, ce n’est pas d’un congé planifié quarante-huit heures à l’avance que l’aidant a besoin, mais d’une souplesse organisationnelle souvent immédiate.
Cet amendement vise donc à permettre au proche aidant, en cas de dégradation soudaine de l’état de santé de la personne aidée ou de situation de crise nécessitant une action immédiate de sa part, de se rendre disponible immédiatement.
Son adoption permettrait de limiter les appels aux pompiers et d’éviter les passages aux urgences ainsi que les hospitalisations inutiles.