L'alinéa 11 fait référence à la précarité de l'activité artistique ; or, c'est bien plutôt la précarité des artistes, c'est-à-dire des êtres humains, qui est visée. Ce sont en effet les conditions d'exercice des métiers artistiques qui engendrent la précarité. Je propose donc de retenir la formule suivante : « la précarité des artistes et des auteurs ». Cela me semble plus cohérent avec le combat que nous menons contre ladite précarité.