Si on labellise de trop nombreux bâtiments, le ministère, victime de cet engorgement, ne pourra pas suivre. Or, la tendance actuelle est, après n'avoir rien classé, à vouloir tout classer. Une politique de labellisation structurée du patrimoine du XXe siècle suppose que l'on sache quel sera son coût, et que l'on ne labellise que les bâtiments d'exception.