Je me réjouis de cet amendement, que nous soutenons ardemment. Il est temps de sortir de cette situation extrêmement pénalisante, et ubuesque, où, du fait d'un anonymat maintenu jusqu'au terme du processus, aucun dialogue n'est possible entre le maître d'ouvrage et l'architecte, au sujet de constructions appelées à durer des dizaines et des dizaines d'années.