C’est ce gouvernement qui a fait progresser les choses.
Sur la question du prix, j’ai constaté, comme d’autres d’ailleurs, qu’après après avoir pris des engagements avec l’ensemble des acteurs de la filière porcine pour revaloriser le prix du porc et répondre ainsi à la demande des producteurs porcins, ce sont les groupements de producteurs porcins qui ont demandé la baisse du prix il y a quinze jours à peine. Nous pouvons en mesurer les résultats aujourd’hui, mais chacun assumera ses responsabilités : le ministre et le Gouvernement ont assumé les leurs.
Chacun devra assumer ses responsabilités, notamment devant les producteurs. La médiation que nous avons engagée se poursuivra et nous continuerons de défendre l’intérêt général de l’ensemble de la filière, et pas seulement l’intérêt particulier de quelques-uns de ses acteurs.
S’agissant de la filière bovine et porcine, nous avons choisi avec l’interprofession de valoriser l’origine française des viandes. Parallèlement à la revalorisation des prix, il était important d’assurer un débouché national à cette production nationale, qu’il s’agisse du vif, des produits frais et surtout de la salaison.