Nous accomplissons ce soir un acte de reconnaissance auquel vous n’avez pas voulu vous associer. C’est fort dommage ! C’est pour vous une occasion manquée. Il était temps en effet de reconnaître le tissu d’initiatives territoriales que constitue la pratique amateur et son apport essentiel en termes de développement personnel, de cohésion sociale et de transmission de notre patrimoine culturel dans un cadre législatif sécurisé pour cette pratique comme pour l’emploi professionnel. C’est pourquoi notre débat de ce jour constitue une étape majeure dans l’histoire de notre politique culturelle, mesdames et messieurs les députés, ce dont je vous remercie.